l'homme qui menais la caravane , assis sur son chariot étais resté silencieux depuis le début de notre périple, trois jours plus tôt hormis quelques "stop." ou "avancez." il ne paraissait pas vouloir lâcher mot. j'entamais donc la conversation en ces termes.
" - dites mois, cocher, nous allons faire une longue route ensemble ne serait il pas préférable que nous parlions pour passer le temps ?
- dangereuse façon de passer le temps en ces lieux.
- le dangers ne m’inquiète pas.
- vous les nobles... En ces lieux ou les bandits détroussent les caravanes et ne laissent qu'un tas de cranes et de tripaille chaude et ou les loups en laissent encore moins,il est préférable de se la fermer, aussi armé qu'on soit et habile a l'épée face a un ennemis honorable. Car ici l'honneur n'est qu'une façon de mourir jeune, écuyer."
il ne lâchât pas un seul autre mot du voyage.
" - dites mois, cocher, nous allons faire une longue route ensemble ne serait il pas préférable que nous parlions pour passer le temps ?
- dangereuse façon de passer le temps en ces lieux.
- le dangers ne m’inquiète pas.
- vous les nobles... En ces lieux ou les bandits détroussent les caravanes et ne laissent qu'un tas de cranes et de tripaille chaude et ou les loups en laissent encore moins,il est préférable de se la fermer, aussi armé qu'on soit et habile a l'épée face a un ennemis honorable. Car ici l'honneur n'est qu'une façon de mourir jeune, écuyer."
il ne lâchât pas un seul autre mot du voyage.