Leodrig Lugrod, Commandeur de Griffe-Lune.

L'homme posa son gobelet sur la table de la taverne. Il était d'un âge mur, plutôt bien bâtis et revêtue d'une tenue de voyage. Ces cheveux grisonnant couper mi-long couvrais des yeux ou l'on pouvais lire la fatigue et la lassitude. Il ressemblait a n'importe qui dans cette taverne, surement un voyageur. Mais les voyageurs n'insulte pas un chevalier, même si l'insulte était de ne pas s'être lever quand le chevalier rentre dans la salle commune. Il leva les yeux pour répondre au jeune dandy qui lui fessai face, couvert d'une armure qui semblait trop lourde pour lui, et portant une épée qui ne devais pas souvent servir.

"-Me levez? Pourquoi donc?"
Offusquer qu'un gueux s'adresse ainsi a lui, sans marque de respect, le dandy répondit:
"-Je suis le chevalier Nemas Saurcen, et je t'ordonne de te lever et de t'excuser!"
"-M'excuser de quoi? De vous avoir parler comme je parlerais a un autre homme, fait de la même chair et du même sang que vous? Vous n'êtes pas mon seigneur."

Énerver par les propos de l'homme,le chevalier ordonna a c'est deux sergent de l'arrêter.

Alors que le chevalier se retournais et ce dirigeai a une table, il entendue un bruit étrange, qu'il n'avais jamais entendue et peux plaisant. Il tourna la tête, et vis un de ces sergent a terre, le casque ouvert ainsi que ce qui ce trouvais en dessous. L'homme était debout, et tenait a la mains un fléau a la tête recouverte de sang. Le deuxième sergent resta immobile devant le regard que lui lança l'homme.
Le chevalier sentit un liquide chaud lui couler le long de la cuisse, et ce demanda s'il avais bien fait de quitter le donjon familial, avec son confort et sa sécurité.

On raconta dans les villages au alentour de l'auberge, qu'un chevalier aurais défier un homme juste équipe de son brise-tête. Un corps ou le cou finissais par une bouillie de chair et d'os aurais été découvert dans un bosquet proche. Surement une histoire de fou, tout le monde sais qu'un chevalier peux vaincre tous ennemie.


Un petit récit inventer de toutes pièce, permettant de cadrer un peux la personnalité du bonhomme. La suite dans la semaine.

30 années plus tôt, château de Cordial.

"Alors gamin, sa pas l'air d'aller? Ta faim? Je sais ou te trouver a manger, t'aura rien a payer, juste a me suivre moi et le sergent!"

Le soldat pris le jeune garçon sous l’aisselle pour le faire ce lever, et lui mis un petit parchemin, au bord user et sale. A par ce qui ressemble a un blason, il ne compris rien a ce qui était dessus.

"Regarde, tu prend ce fusain, et tu fait un petite croix ici, juste la, et t'aura un repas chaud et un endroit ou dormir ce soir, sa te tente? Très bien, suis moi maintenant."

Suivant le soldat, le garçon rêvait déjà de manger quelque chose, son dernier repas remontait a hier matin, et le chat n'était pas très gras. Et dormir dehors s'était pas génial. Il vit d'autre gamins suivre le soldats. Souvent s'était des bourgeoise fortunée et gentil, ou des religieuse, qui venait distribuer de la nourriture au plus diminue, enfin plutôt a ceux qui était les plus rapide et qui défendait le mieux la pitance récupérer, mais jamais des soldats. Mais bon, on ne laisse pas passer une occasion de manger quelque chose.

Après une vingtaine de minute de marche, après être passez sur le pont levis et par le gros bâtiment en pierre qui semblai faire office de porte du château, le groupe s'arrêta dans une cour, entourer d'une dizaine de soldat. Un homme, qui ressemblait a un mestre mais en moins bien habiller, était assis derrière une table en bois.

Un soldat fit mettre le groupe en ligne, surement pour éviter le désordre si certain voulait manger les premiers. Leodrig ce retrouva ainsi a attendre, mais ne vit aucune marmite pleine de soupe, ou de grosse miches de pain. Lorsqu'il n'y avait que deux garçon devant lui, il vit le mestre mesurer les garçon avec une corde de nœuds, regarder leur yeux, l'intérieur de leur bouche, palper leur jambes et leurs bras. Bizarre, mais bon un mestre sais se qu'il fait, il sais toujours plein de choses lui disait sa mère.

Lorsque ce fut son tour, Leodrig fut donc observer par le mestre. Ce dernier ce tourna vers un soldat tenant une petit planche en bois et un fusain.
"Apte, au suivant!"

Un soldat conduit donc leodrig vers une grande salle, ou il dut ce laver dans un bac d'eau déjà froide et presque noir. On lui donna alors des vêtement propre et a peux près neuf, mais rien a manger.

Il attendit encore un quart d'heure. et un soldat, avec un uniforme différent des autres, rentra dans la salle, et pris la parole.

"Jeune gens, vous avez l'honneur d'être choisi pour rentrer dans la garde du château de Cordial, de la maison Arryn, conformément au papier que vous avez signez. Vous allez recevoir un repas, être assigner a un dortoir, et vous commencerez l'entrainement demain."

Ce petit discourt marqua alors un grand tournant dans la vie de Leodrig. S'il n'avais pas suivie le soldat, que lui serait t-il arriver? Serai s’il mort dans une rue sombre, de maladie ou de la faim? D'orphelin miséreux il devint garde, puis il pris place dans l'armée de la maison Arryn, mais tous cela je vous le raconterais plus tard.